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Par : Auteur1
Publié : 1er novembre 2019
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Conte J Gretel et Hansel

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Il était une fois un couple d’agriculteurs qui vivaient au bord de la mer avec leur fille Gretel et leur fils Hansel. Ils étaient très, très riches…

Un matin, Hansel dit à Gretel : « On doit abandonner nos parents dans la jungle pour hériter de toute leur fortune ! » « On pourrait leur demander d’aller faire un safari lors de nos prochaines vacances. » ajouta Gretel.

Lors des vacances d’été, la famille partit en safari en Afrique. Ils sortirent de la voiture pour voir beaucoup d’animaux : éléphants, rhinocéros, girafes… D’un coup ils rencontrèrent cinq lionnes. Les parents coururent, pour rejoindre la voiture, mais il n’y avait plus la Jeep, ni Hansel et Gretel.

Alors les lionnes s’avancèrent vers les « pauvres » parents abandonnés qui étaient effrayés. Elles les encerclèrent et l’une des lionnes dit : « Bonjour, je m’appelle Nala, n’ayez pas peur nous sommes végétariennes ». En effet, ces lionnes-là ne mangeaient pas de viande

mais de l’herbe et des feuilles. Les parents leur demandèrent : "Sauriez-vous où trouver à manger ?" Et les lionnes les conduisirent à une merveilleuse maison : elle était recouverte de papier cadeau, avait un gros noeud au-dessus de la cheminée, une porte en forme de sapin et les fenêtres en forme d’étoiles !

C’était la maison du Père Noël. Les parents voulaient déballer le cadeau. Le Père Noël leur dit : "Arrêtez de détruire ma maison et entrez donc !". Puis les parents pénétrèrent dans la maison et virent Gretel et Hansel.

Les enfants semblaient déçus, Gretel dit : "Viens Hansel on s’en va !" Mais le père Noël leur demanda de rester car il avait des cadeaux pour eux. Les enfants dirent :" Notre cadeau c’est de récupérer la richesse de nos parents." Le père Noël, fâché, les enferma dans le four de la cuisinière.

Les parents crièrent : « Libérez nos enfants ! »

Le Père Noël bégaya :« Mais, mais … ils veu… eulent … vous… vo… oler… vo… votre … a… argent. »

Les parents dirent : « On s’en fiche nous ! Nous voulons nos enfants. »

Le Père Noël les rassura d’abord en leur disant : " Ne vous inquiétez pas, ce four est en guimauve !" Puis il décida de proposer à Gretel et Hansel deux punitions : copier 2 000 000 lignes ou l’aider à distribuer les cadeaux pendant la nuit de Noël.

"Cela vous permettra de voir qu’il y a des enfants abandonnés ou bien plus pauvres que vous et qui pourtant n’envient pas les richesses de leurs parents !".

Pendant la tournée, les enfants avaient jeté les cadeaux n’importe où. Jules reçut un vase qui était destiné à sa grand-mère, Eloïse eut un avion télécommandé destiné à Jules, Sam eut une poupée Barbie destinées à sa petite sœur, et celle-ci joua avec un beau ballon.

Quelques heures plus tard, ils arrivèrent en Égypte. Ils virent un petit garçon abandonné. Hansel le questionna :

"- Où sont tes parents ?

- Je ne les ai pas écoutés, j’ai lâché leurs mains, et du coup, je me suis perdu !".

Gretel lui proposa de l’aide pour retrouver sa mère et son père. Le gros barbu dit :

"- Non, parce qu’on doit rentrer avant l’aube.

- Je peux venir avec vous alors ?"

Ils rentrèrent donc tous les quatre à la maison du Père-Noël. Pendant le voyage, dans la discussion, les enfants découvrirent que le petit garçon avait un frère et une sœur plus jeunes que lui. Il leur montra même la photo de deux bébés.

A la maison du Père-Noël, les parents de Hansel et Gretel les attendaient. Quand ils virent le petit garçon, ils s’exclamèrent :

"- Atarte, c’est toi ma petite pomme ? dit la maman.

- Mais oui, je m’appelle Atarte, comment la savez-vous ?

- Je suis ton père !" dit le papa.

Bousculé par tous ces événements le Père-Noël n’avait pas eu le temps de fabriquer de cadeau pour les parents.

"- Ce n’est pas grave ! Notre plus beau cadeau, c’est notre fils qui est revenu auprès de nous : c’est le principal !

- Ah bon ! Tu es donc notre frère ?" s’exclamèrent joyeusement Hansel et Gretel.

Les deux enfants trouvèrent que c’était le moment de s’excuser auprès de leurs parents : ils avaient compris que l’argent ne valait rien contre l’amour de la famille.

Et c’est ainsi qu’ils vécurent le plus beau Noël de tous les temps.

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